Teaser about Anne Vanrechem
With Alexis Constantin, Paul Lelong, Olivier Loudin, Pascal Martin-Granel,
Directed by Anna Asmus
Edit: KOSHKA.NEON     
Producer: Simon Gromov
Special thanx : Roman Katyshkin,  Ines Matinez
Music ORCHIDÉE NOIRE - Essence Vitesse

Originaire du Nord de la France, je vis et travaille à Paris.

Etudes de lettres, droit et communication suivies de nombreuses expériences professionnelles (journalisme, édition, communication, antiquités,lithographie, et le monde de l’entreprise), dont la diversité  m’amène à une vision élargie des codes et langages . 

Je découvre le« magic effect » des associations d’images en faisant spontanément des collages.

Retour à la fac en 2000, en Arts plastiques (Licence) à Paris 8, puis j’anime  des ateliers d’art plastiques avec des enfants atypiques tout en continuant ma recherche plastique au travers de thèmes en lien avec mon environnement. En m’intéressant au pré-cinéma, je suis interpellée par la magie des vues d’optique du 18ème siècle à effet diurne et nocturne Je m’en inspire pour créer des d’écrans photographiques animés qui proposent une transformation graduelle de l’image (dissolving views) et qui , dont les scénarios lumineux  apportent plusieurs visions d’une seule œuvre.

Le process repose sur l’association de plusieurs médiums et d’outils,(photonumérique, photoshop, peinture, leds/éléctronique,techniques d’impression, supports) 

Alliant photographie, art numérique, peinture, lumière, et effets-cinéma, je détourne et assemble des images en jouant avec la transparence et les fondus enchainés.De même qu’avec des séquences de lumière qui créent une dramaturgie (figures de lumière) et des effets visuels :  apparitions et disparitions de sujets dans l’image,  substitutions d'images par zones, changements de couleur, effets dematière, zones d’ombre…. La lumière diffusée en rétro-éclairage unit ces différents médiums L’écran quitte sa structure figée et s'anime. Selon les jeux de lumières, plusieurs scénarios ou points de vue sont alors proposés dans une seule oeuvre.

Ce process cultive une  zone au-delà de la photo, mais qui n’est ni du cinéma ou de la vidéo. C’est un espace émotionnel et vivant qui questionne le statut de l’image.

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